mercredi 14 décembre 2011

le Top 3

Les élèves ont imaginé en binôme la suite d'un chapitre du roman L'oeil du loup de Daniel Pennac. Trois binômes ont été sélectionnés.














 
Une nuit terrible. Une d'Afrique sans lune. J'étais là. Dans mon lit, je rêvais. Je rêvais de mon ancienne maison. Avant je vivais comme les Africains, pauvres, presque sans maison. Nous n'avions qu'une pièce pour loger toute la famille. Mais maintenant j'ai une grande maison. Je n'ai vécu qu'un an avec mes parents, après ils m'ont donné à des Français parce qu'ils ne pouvaient plus s'occuper de moi .J'étais mieux avec mes vrais parents, la brousse et ses animaux (singes, gazelles, lionceaux...)
 Ici, en France, les animaux sont enfermés dans des cages.       
                                                                                                       Adèle et Pauline




 
Une nuit terrible. Une d'Afrique sans lune. Une nuit sans bruit! Je rentrais au camp, quand j'entendis un coup de fusil, puis 2, puis 3, puis plus rien. J'ai essayé de retrouver la trace des chasseurs, mais rien, j'ai cherché partout mais je ne trouvais rien. En marchant, j'entendis un bruit. Je m'avançais vers le bruit quand je vis un baobab, avec une lionne  qui souffrait et des lionceaux qui étaient autour d'elle. Je m'avançais vers elle et je vis du sang couler de son pelage. Je m'avançais encore un peu quand je vis une balle dans son pelage. Je courus jusqu'au camp! Là-bas, j’allai vers ma hutte taper à la chambre de mes parents. Je leur racontais ce que je venais de voir. Nous courrions alors jusqu'à l'endroit où je l'avais laissée. Mais quand nous arrivâmes il était trop tard, elle était morte.
Alban et Clément






Une nuit terrible .Une nuit d'Afrique sans lune .Moi et mes parents nous dormions tranquillement, quand tout à coup le vent se mit à souffler très fort ! Le toit de notre maison commença à s'envoler. Nous sortions puis, nous regardions vers le ciel et nous découvrions que la lune n'était plus là !!! Notre baobab s était écroulé, nos plantations n'étaient plus là. Nous nous retournions et nous voyions que le toit de la maison s'était effondré .C 'était une nuit terrible .Mes grands-parents étaient venus nous voir car chez eux c'était la même chose .Chez tout les Africains  c'était pareil. Je me suis dit: Comment allons nous vivre ? Le lendemain, tous les Africains étaient réunis au même endroit. Ils se posaient tous la  même question. Ici on ne voyait que le désert on était perdu. C'était une nuit terrible.
Philippine et Guillaume




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